sologamie

L’histoire de Laura Mesi, première sologanne d’Italie

L’acceptation du mariage homosexuel dans certains pays d’Europe il y a quelques années a bouleversé certaines opinions. Etant donné que chacun recherche le bonheur, certains ont pensé que le leur ne dépendrait pas de quelqu’un d’autre, car eux même se suffisent. Certains le voient comme du narcissisme tout simplement, de l’égoisme et de l’égocentrisme, de ne penser qu’à soi-même. Mais cela n’a pas empêcher que depuis plusieurs années le nombre de sologannes grandit au fil du temps. Sous d’autres cieux, une jeune britannique écrivaine du nom de Sophie Tanner, s’était elle aussi promis amour jusqu’à la mort à l’Eglise le 16 mai 2015 (1 ère femme sologame au Royaume-Uni), en présence de sa famille et de ses amis. Le 27 Septembre 2017, Laura Mesi a ouvert le bal dans la Péninsule d’Italie, en devenant la première sologame (après Nello Ruggiero premier Sologame d’Italie quelques mois plus tôt).

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Une joie immense d’être mariée

Pour ces hommes et femmes sologames, l’avenir est très prometteur et leur bonheur ne dépendra jamais d’autrui. Laura Mesi a dit en effet qu’elle serait heureuse de rencontrer un jour un homme avec qui tout irait bien, mais que jamais, son bonheur ne dépendra de cet homme. Elle avait déjà prévenu sa famille et ses proches du fait qu’elle se marierait toute seule si à 40 ans elle n’a toujours pas trouvé l’âme soeur, le « bon ». Et c’est donc ce qui s’est passé ce 27 septembre 2017. Elle se moque complètement de tous ceux qui sont contre son choix, car elle est heureuse toute seule.

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